L’objectif de ce mémoire est d’étudier la construction d’un référentiel géographique sur les
points d’intérêts entre plusieurs acteurs publics, d’en mesurer le sens pour l’intérêt général,
d’apporter des éclairages sur le fonctionnement des échanges entre acteurs publics et
d’envisager des méthodes pour concrétiser cette entreprise. Pour cela mon travail traite des
processus organisationnel mis en exergue par la constitution d'une informatique géographique
au sein d'une infrastructure de donnés géographique. La complexité organisationnelle dans la
mise en oeuvre d'un projet est dans le cas de cette étude particulièrement exacerbée par les
différentes interprétations entourant la donnée des points d'intérêt. L'étude des différentes
étapes de la coconstitution d'une donnée sont l'occasion de soulever les processus même les
plus subtils qui peuvent jouer un rôle dans l'aboutissement d'un projet commun.
L'instauration d'une infrastructure de donnée géographique, ne se suffit pas à elle-même, pour
en permettre la performance, la méthodologie suit la compréhension des processus. Dans ce
travail, je m'essaie à proposer un axe de résolution permettant la formation d'une donnée de
point d'intérêt au niveau de l'Ile de France. Ce travail entre partenaires du service public est
légitimité selon moi par la nécessaire maîtrise des pouvoirs public sur la donnée des points
d'intérêt car celle-ci est du fait d'une démocratisation d'appareils mobiles avec un système de
géolocalisation (téléphone, GPS, tablette, etc.) une donnée fréquemment utilisé par la
population. Et ceci a des fins de déplacements qui relève parfois de la nécessité de se déplacer
vers un lieu pour des impératifs sanitaire, sociaux ou économiques. Cette légitimité trouve
d'autant plus son sens que certains lieux qualifiables d'intérêt sont tenus par des missions de
services public et de ce fait il me semble important de réfléchir à la communication en matière
de navigation et de modalité d'accès aux lieux.

Confidentiel