A chaque nouvelle catastrophe industrielle, les pouvoirs publics en France et en Europe créent un nouvel outil pour prévenir et diminuer le risque. Le SIG en fait partie. Mais la multiplicité de ces outils constamment renouvelés est-elle indispensable pour gérer le risque ? L’utilisation de plus en plus massive de ces outils informatiques dans un domaine si sensible comme la gestion des risques n'a-t-elle pas un impact négatif ?
C’est à cette question que ce mémoire tente de répondre, en prenant appui sur l’analyse de la mise en place d’un outil de calculs de risques intégré au WebSIG d’une entreprise gestionnaire de réseaux : GRTgaz.